L'économie et l'écologie se sont opposées et s'affrontent encore trop souvent au détriment de la nature et de l'humain. Après des précisions sur la place de l'humain et de la nature, de leur développement et les constats dramatiques des pouvoirs financiers sur le monde, des solutions possibles pour une nouvelle voie sont proposées. L'auteur décrit nos sociétés qui sont fondées sur l'avidité, l'envie et surtout le pouvoir. Face à une multitude d'êtres humains qui possèdent si peu, il y a toujours une minorité qui détient tellement de biens et de puissance. Cette tragique inégalité humaine est associée à une destruction de l'environnement aux conséquences de plus en plus redoutables pour tous.
Des modifications à l'échelle planétaire sont maintenant indispensables.
On doit changer la condition des femmes que l'on déclare égale à celle des hommes dans les textes mais qui l'est rarement, en réalité.
On doit promouvoir la coopération mondiale entre les êtres humains. Il faut édicter et respecter des lois pour le bien de tous.
On doit lutter avec énergie et volonté contre toutes les formes de dégradation et de destruction de l'environnement de la planète pour la préservation de la vie.
La régénération de l'humanité est encore possible si on s'en donne réellement les moyens.
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