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Avec son invention verbale, ses grandioses visions uchroniques, son sens swiftien de la satire, Jean-Claude Albert-Weil est peut-être le dernier auteur maudit de la littérature française.
Dans cette confession déroutante, il est question de style romanesque aussi bien que de nos origines extraterrestres, d'écologie et d'éducation, de souffrance animale et d'aveuglement humain, de sexe et de pouvoir. Le tout placé sous la haute bannière de l'inhumanisme, seule philosophie susceptible, selon J.-C. A.-W., de sauver ce monde, sa nature - et l'humanité elle-même - du danger que représente la civilisation moderne.
" On doit prescrire, dans les écoles, les prisons et les ministères, la lecture du contre-monde romanesque de Jean-Claude Albert-Weil. Ce n'est pas seulement le lieu d'expérimentation d'une géopolitique parfois discutable, mais un projet grandiose de réforme de l'orthographe ". (F. B.) Les propos de Jean-Claude Albert-Weil ont été consignés par François Bousquet, l'auteur de Jean-Edern Hallier ou le narcissique parfait (Albin Michel).
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