"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Les Récits librement inspirés de ma vie d'oiseau terminent la trilogie ouverte par Absenta, poursuivie par Chants de l'éolienne.
Comme les précédents, ce recueil est une boîte emplie de voix perdues. D'énigmatiques personnages sont ici rassemblés pour élever leur voix et raconter une histoire qui est peut-être la leur. Rassemblés, mais très égarés dans leur solitude. Ils frappent, chacun, contre la boîte pour y glisser leur petite chanson. Ils sont nombreux, Icare, l'alouette, la femme-saumon, le montreur d'ours, la lingère et tous ces autres de ma vie d'oiseau auprès de qui je chante.
Ils se tiennent debout, immobiles, ils cherchent des yeux un lieu pour y déposer leur parole, comme les oiseaux les nids. Un lieu pour élever enfin leur voix. Tandis qu'un choeur de sirènes, plus bas, recoud point à point le chant des égarés.
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