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"Que les très laides me pardonnent, mais la beauté est fondamentale".
Nul homme galant n'oserait commencer ainsi une déclaration universelle des droits à l'amour. Sauf Vinicius de Moraes, poète brésilien aux mille fleurs écloses, de la plus noire, tueuse et toxique, à la plus joyeusement colorée.
Vinicius de Moraes (1913-1980), "poète et ex-diplomate... le blanc le plus noir du Brésil" comme dit la chanson, a vécu intensément : il aimait la vie dans ses détails et dans ses excès, il aimait les femmes qui étaient ses muses, mais il aimait surtout l'amour.
Intensité qui ressort dans le lyrisme de ses poèmes, qui renouent avec la tradition poétique brésilienne tout en réinventant l'amour des hommes et l'idée de la femme, avec légèreté et humour. Les textes ici présentés sont d'une part un choix de poèmes édités dans différents recueils de 1938 à 1959, d'autre part les Cinq élésies publiées en 1943.
Une belle introduction aux thèmes majeurs de l'oeuvre de cette figure incontournable la culture brésilienne.
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