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La recherche en arts, en prise avec son institutionnalisation au sein des universités et des écoles d'art, à l'échelle nationale et européenne en particulier, se confronte bien souvent aux mêmes critères que ceux de toute recherche expérimentale :
De nouveauté, de créativité, d'incertitude, de systématisation et de transférabilité. Au delà de l'indiscipline nécessaire à toute discipline, peut-on nommer et discuter des réalités pragmatiques qui se trament derrière l'évidence de ces critères ?
Pour y répondre, ce livre fait d'abord le pari de ne pas assimiler les deux fonctions sociales que sont celle de l'artiste et celle du chercheur en arts pour tenter de voir ce qui diffère dans le faire et l'expérience de terrain dès lors qu'on pense, selon les cas, « comme un chercheur en arts » ou « comme un artiste ». Ce livre mise ensuite sur l'idée que la compréhension de ces réalités passe par l'observation de ce qui se fait collectivement au sein même de nos institutions et en dehors, et ce parfois depuis plus de trente ans. Huit équipes de recherche exposent par le menu leurs objets, leurs méthodes, leur organisation, leur milieu et le pouvoir de démonstration de la pensée artistique, esthétique et politique qu'elles déploient collectivement et durablement, par le verbe, les faits et les gestes.
Ce livre est le deuxième volume dédié à une approche écologique de l'art (écopoïétique) développée dans le cadre du projet Moby-Dick, conduit par le Laboratoire des Objets Libres à l'Université Bordeaux Montaigne.
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