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Ce livre cherche à comprendre le statut paradoxal du concept d'acte de parole (représentation et action?) en le situant par rapport aux grands débats de la philosophie du langage. Il s'agit de comprendre en quoi et à quels titres le langage, qui parle du monde, peut être considéré comme une activité. Sont examinés en particulier ses aspects signifiants et référentiels, ses aspects « performatifs » et ses aspects rhétoriques.
Se concentrant sur l'efficacité normative de l'acte illocutoire qui règle les échanges discursifs, on cherche à en comprendre la spécificité - son statut quasi-juridique -, les différentes modalités, et le fonctionnement. Une question centrale est de savoir si l'efficacité illocutoire dérive de la sémantique des énoncés, des intentions des locuteurs ou de conventions qui règlent l'usage du langage. Est défendue dans l'ouvrage une conception conventionnaliste et contextualiste des actes de parole, qui relève les multiples conditions permettant, ou non, à la parole de chacun d'avoir une quelconque efficacité, ne serait-ce qu'en voulant dire la vérité à propos du monde.
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