80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il y a 35 ans l'International Council on Monuments and Sites (ICOMOS) adoptait la Charte de Florence, qui reste la principale référence en matière de conservation et de restauration des jardins historiques.
Cependant, depuis 1982, l'introduction du concept de « paysage culturel », la prise en compte des enjeux environnementaux, l'intérêt grandissant du public pour ce patrimoine ainsi que les avancées de la recherche ont modifié en profondeur le regard que nous portons sur le jardin historique, tandis que les métiers et les savoirs spécifiques à ce domaine n'ont cessé d'évoluer.
Si on a pris conscience de l'importance patrimoniale, mais aussi de la fragilité, de ces « monuments vivants », beaucoup reste à faire pour parvenir à une meilleure compréhension de leur complexité et de la place qu'ils occupent, ou peuvent occuper, dans la culture contemporaine.
Le colloque Que sont devenus les jardins historiques, qui s'est déroulé le 15 et 16 mai 2017 au domaine départemental de Sceaux, a permis de faire un bilan des expériences acquises au cours des dernières années et d'ouvrir des perspectives nouvelles, grâce à la contribution de professionnels du monde des jardins : historiens, jardiniers, architectes, responsables de parcs privés et publics.
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