Il raconte comment cette passion lui est venue et les leçons sportives qu'il en a tirées pour son existence. Il en profite pour évoquer d'autres souvenirs coïncidant avec des anniversaires de quarante ans, eux aussi. Tout d'abord les quarante ans où il a assisté sans discontinuer à des festivals comme celui de Cannes (où il a été à certains moments un des administrateurs), celui du cinéma américain de Deauville qu'il a contribué à créer avec Michel D'Ornano, ancien maire de Deauville, dont il a été un collaborateur au ministère de la culture, sans parler des nombreux autres festivals auxquels il assiste sans discontinuer depuis quarante ans : Avignon, Aix, Orange. Au-delà de ses souvenirs et de ces anecdotes, il trace un portrait de la France de ces quarante dernières années et propose une projection pour l'avenir. Ce titre est également un clin d'oeil au quarantième ouvrage de cet auteur.
Au-delà de ces 40 ans que vient de vivre la France il en profite pour remonter un peu plus loin sur des témoignages de ces ancêtres dont il a pu trouver des traces jusqu'à Hugues Capet sans oublier l'emprisonnement d'une de ses aïeules dans la même prison (mais pas pour les mêmes raisons) que le marquis de Sade. Cet épisode évoqué dans quelques biographies de Sade n'a jamais été décrit aussi précisément.
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