80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quand des modernes relisent les Anciens... traite de quelques écrivains modernes ou contemporains qui ont en commun de s'être un jour réclamés de Rome ou de la Grèce. Certains, en se frottant aux Anciens, ont voulu « délivrer un message » ; d'autres se sont simplement divertis. Quand Paul Valéry traduit les Bucoliques de Virgile entre 1942 et 1944, il ne se confond pas avec Jean Giono présentant vers la même époque « les pages immortelles de Virgile », et encore moins avec Hermann Broch composant La Mort de Virgile. Même chose quand Vintila Horia en 1960, David Malouf en 1978, Christoph Ransmayr en 1988 puisent dans l'oeuvre d'Ovide la matière de leurs propres romans. Sans parler des variations que brodèrent Giono, Giraudoux, Georges Sion, André Maurois autour de l'Odyssée, de Plaute, du Satyricon, de Tibulle. Sauf que tous sont partis des mêmes modèles, et c'est ce qui fait l'unité, l'unité dans la diversité, de ces lectures à cheval sur deux siècles.
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