80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Nous étions réfugiés à la campagne alors que j'avais dix ans. J'y ai eu une approche très directe avec la maladie d'Alzheimer auprès de la grand-mère de nos amis d'enfance. Plongée dans la maladie de l'oubli après avoir fui la Révolution russe, elle accompagnait tous nos jeux de sa présence silencieuse, mais nous étions très unis avec elle par une autre forme de communication. Plus tard, lors de mes travaux de recherche à travers le monde, en vue de faire « renaître les Arts Anciens », j'ai connu cette forme de communication au-delà de la parole à l'occasion de nombreux séjours et voyages en Afrique, Inde, Sulawesi, Indonésie et au Pacifique jusqu'à l'île de Pâques. Le silence m'a donc appris à être mieux à l'écoute des autres, de son propre silence. J'ai participé directement, de par ma formation, au lancement de l'Art-Thérapie dès les années 70 auprès des enfants hospitalités, des personnes dépressives et des personnes âgées.
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