"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", nous explique Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
Lire Gérard Bayo, c'est entrer dans un monde à la fois proche et secret. Ses poèmes gardent leurs secrets, mais parfois se révèlent d'un seul trait, telle une piste pour le guetteur de sens. Approcher ses secrets nous touche assez pour qu'on parcourt ses mots irrésisiblement. Ce nouveau livre, où inédits s'entremêlent avec d'autres poèmes déjà publiés, Gérard Bayo l'a conçu comme une synthèse de son oeuvre, ou plutôt, précise-t-il : «Je n'ai pas voulu faire un florilège mais une sorte de polyphonie où les pages se répondent, un tout, un livre pas un recueil.» L'EXTRAIT Un mètre cinquante de plancher On vendait des morceaux de charbon, des assiettes, on vendait du pain, on vendait son manteau et des monceaux de livres, une écuelle écaillée, des tapis, des luges, on vendait un violon et plus loin son archet, on vendait un vélo, un lustre, des clefs.
Un jour le mot perdit son ombre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", nous explique Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
Le jury et les internautes récompensent ce roman publié aux éditions l’Arpenteur
Le jury et les internautes récompensent la bande dessinée publiée cette année aux éditions Delcourt