80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Objet depuis quelques années d'un engouement qui ne se dément pas, les premiers romans ont progressivement imposé leur existence dans l'espace littéraire au travers de nombreuses manifestations (festivals du premier roman de Laval ou de Chambéry, Goncourt du Premier roman, etc.) ou des larges comptes rendus que la presse leur consacre à chaque rentrée. Ils font ici l'objet d'un questionnement pluriel et varié auquel participent chercheurs, bibliothécaires, organisateurs de festival et jeunes écrivains. Les analyses sociologiques et poétiques des universitaires entrent ainsi en résonance avec les propos des bibliothécaires de la ville de Paris et des responsables du festival du premier roman de Laval quand il s'agit de réfléchir à la place éditoriale et culturelle qui est celle des premiers romans aujourd'hui. Et les interrogations qu'elles soulèvent sont en même temps relayées et relancées par les réflexions de trois jeunes écrivains (Miguel Aubouy, Tanguy Viel, Philippe Vilain) qui sont, quant à eux, invités à examiner dans leur écriture la pertinence de la question elle-même.
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