"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
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Je connaissais le blog de Julia Inside TV mais pas son auteure la journaliste Anaïs Maquiné-Denecker. Dans ce roman, l'auteure nous évoque un univers qu'elle connait très bien, le milieu audiovisuel.
Par l’intermédiaire de son personnage Julia Bouvier on entre de plein pied dans le milieu de la télévision et plus encore dans celui de la télé-réalité.
Bien sûr on s'en doute, même sans lire ce roman, que tout est bidonné, que les participants sont triés en fonction de l'impact qu'ils pourront avoir sur l'audimat, qu'il n'y a aucune vérité, ni sincérité dans ce milieu et qu'on est dans un vrai panier de crabe mais le lire dans un livre plein d'humour comme celui ci ça fait du bien.
Julia, jeune journaliste, intègre le milieu de la télévision et découvre un univers qu'elle ne soupçonnait pas vraiment.
Son intégrité et son professionnalisme sont mis à mal sans cesse, c'est la course à la gloire, au mensonge et surtout à l'audimat qui prime.
Certes on n’apprend pas forcement grand-chose mais on passe un bon moment de lecture quand même.
Ecriture sympa, pleine de peps qui sied bien à la fulgurance de certaines carrières et de certains moments télévisuels.
L'auteure mêle vraiment les anecdotes, tant drôles que tristes et c'est également ce qui donne ce côté assez addictif au roman, un peu comme un journal "people" qu'on se défend de lire mais sur lequel on se jette dès qu'on en a la possibilité chez le médecin ou le coiffeur.
Un premier roman qui laisse en présager surement beaucoup d'autres.
Ce n'est pas ce livre, aussi bien écrit soit il, qui va me réconcilier avec la TV...
Julia, l'héroïne travaille à la TV et nous décrit les magouilles et autres choses toutes aussi malsaines et répugnantes les unes que les autres.
Voilà un roman très vite lu et qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
J'ai lu ce roman un peu comme on lit les magazines "people" chez le coiffeur. Les mésaventures de Julia, la narratrice, se déroulent si loin de mes préoccupations et de mon univers que je n'ai pas réussi à "accrocher".
Mes chroniques sont en général très courtes. Je crois que celle-ci le sera plus encore.
Je ne sais trop que dire, en effet, du premier roman d’Anaïs MAQUINE-DENECKER. Telle Zoë SHEPARD qui vilipendait la fonction territoriale dans son fameux écrit ″complètement dé-bor-dée″, l’auteur dresse une critique acerbe du milieu de l’audio-visuel.
Entre la pression liée à l’audimat, les reportages maquillés et le personnel exploité, sans compter le chantage et autres perversités tout nous est rapporté des aléas de cette institution à deux faces. Chaque chapitre conte une anecdote. Comme dans les contes de fées on découvre méchants – nombreux – et gentils – plus rares, obstacles à surmonter, aides précieuses, coups du sort et méchantes sorcières ou vilains ogres prêts à tout pour leur carrière.
Est-ce parce que je ne me fais aucune illusion sur ce milieu ? Mais, je n’ai pas réussi à compatir. Je n’ai pas réussi à m’apitoyer. Je n’ai pas réussi à être captivée. L’écriture m’a semblé d’une grande banalité et je suis passée d’un chapitre à l’autre sans grand intérêt. J’en suis vraiment désolée.
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