80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ils s'appellent Yan, Marie, Gil ou Hannah, ont chuté, se sont abîmés. Depuis lors, ils vivent en un lieu qui pourrait ne figurer sur aucune carte ni plan de ville, tant il est vrai que seuls ceux qui y séjournent ou y travaillent savent qu'il existe. Rien d'étonnant à cela, quand on sait que beaucoup d'entre nous non seulement réfutent l'idée de chute, mais en sourient, voire s'en moquent ouvertement, se targuant pour les uns d'avoir la tête suffisamment bien ancrée sur les épaules, pour les autres de toujours marcher sur un sol ferme et plat. Ils s'appellent Arthur, Violette ou Abdel : en soignant leurs portraits par l'écriture, j'ai voulu leur redonner couleur et dignité. JFP
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