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Que voit-on en regardant passer le Tour de France ?
Vingt-trois poèmes illustrés, vingt-trois réponses, vingt-trois vies.
Jean-Baptiste Verrier s'intéresse aux spectateurs du Tour de France. Sa poésie décrit des portraits du bord de route, des caractères, des destins lors de ce rendez-vous de juillet. Il donne place à leurs rêves, leurs espoirs, leurs regrets, leurs chagrins : une vieille dame dresse le bilan de son existence, un vigneron scrute le ciel, le regard d'un entraîneur s'attarde sur un ancien poulain, un père analphabète tente de sauver la face, bien d'autres encore, émus et émouvants, dont la solitude n'a d'égale que celle des coureurs.
Puis, notre émotion se transforme en sourire et en rire grâce aux dessins de Pierre François Rault qui redonnent, aussi sec, peps et confiance à ces héros tendres du quotidien.
Vingt-trois poèmes pour vingt-trois vies, composés de deux vers, répondent aux règles d'un jeu d'écriture qui consiste à sculpter les textes dans un nombre précis de lettres pour « coller aux dents » des braquets des coureurs.
Un « petit développement » introductif ouvre le recueil pour expliquer par le menu cette contrainte d'écriture inventée par l'auteur.
Un recueil de courts poèmes illustrés qui s'inscrit dans la littérature sportive Un ouvrage dont les spectateurs et téléspectateurs du Tour de France sont les premiers héros Des vies du bord de route, des vies marquantes, en deux vers de poésie Un jeu d'écriture d'une totale fantaisie et d'une rigueur extrême Des illustrations originales qui transforment tout en joie
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