Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Et si le capitalisme s'effondrait non pas sous le poids des inégalités ou de la crise climatique, mais faute de progression ? Autrement dit, si sa véritable fragilité résidait non dans un excès, mais dans un défaut de croissance ? C'est ce qu'affirme cet essai en proposant une hypothèse originale : le capitalisme s'organise comme un jeu vidéo réussi. Il repose sur un Core gameplay, l'échange, et un Meta gameplay, l'enrichissement. Ces deux composantes produisent une expérience immersive, structurée autour d'une courbe de progression. Dans la logique du jeu, le principal risque n'est pas qu'il devienne addictif... mais qu'il lasse ses joueurs jusqu'à finir par les perdre. Le sentiment de progression individuelle et collective disparaît, comme c'est le cas aujourd'hui dans les économies avancées. Veut-on encore jouer lorsque le jeu ne permet plus de progresser ? S'appuyant sur les enseignements de l'industrie du jeu vidéo et sur ceux des théories économiques, Guillaume Dagorret et Thibault de Vésinne-Larüe soulèvent une question audacieuse : si le capitalisme ne permet plus de progresser, peut-il être supplanté par d'autres jeux, et quels seront-ils ?
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