80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Pierre Albert qui venait d'obtenir un contrat fabuleux en Amérique du Sud décida de se reposer à Copacabana avant de regagner New York. « Un témoin vit l'appareil, capable de transporter près de trois-cents passagers, survoler la baie, tourner en direction du Pain de Sucre et soudain, comme si une de ses ailesvenait de craquer, tomber en flèche dans la mer. Il y avait soixante-treize personnes à bord y compris l'équipage ». Lorsque Raymond du Peyrol entendit à la radio cette nouvelle, il s'écria : « Pourvu qu'il n'y ait pas Pierre Albert ! ». Jean-Claude Ratier, dans l'univers de Pierre Albert, revient sur les pas de Raymond du Peyrol. Interludes ou l'art de la fuite, paru aux Editions Pascal en 2008.
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