Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Au lendemain de la mort en juillet 2002 de Michel Henry, il devenait nécessaire de rassembler la plupart de ses essais, études, articles et conférences publiés dans des revues ou encore inédits. Tel est l'enjeu de ces volumes de Phénoménologie de la vie qui marquent une étape décisive dans la publication des oeuvres complètes.
Ce troisième volume tire et développe deux des conséquences essentielles de la Phénoménologie de la vie. D'abord que, comme l'intersubjectivité, la politique et l'économie ne doivent pas se penser à partir de structures sociales, mais à partir de l'immanence à soi de la vie - suivant une interprétation révolutionnaire de Marx. Ensuite que l'art, en particulier la peinture, plus encore la peinture abstraite, ne représente rien du monde, parce qu'il ne présente que le pathos originel de l'invisible, de l'auto-affection.
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