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Toute phénoménologie, par définition, part de et en reste au monde tel qu'il s'offre à la conscience. Une "phénoménologie de la transcendance" semble donc une entreprise impossible, puisqu'il s'agirait de chercher dans l'expérience du monde "quelque chose" qui ne puisse en aucune manière que ce soit être rapporté au monde. L'expression de "phénoménologie de la transcendance est ainsi formellement contradictoire : car si la transcendance était "phénomène" et pouvait faire l'objet d'une "-logie", d'une saisie par le logos, elle serait précisément de l'ordre de ce qui peut être mis sous la proposition "il y a quelque chose plutôt que rien". Pour le dire autrement, si la transcendance était objet d'expérience possible, alors justement elle ne serait plus transcendance. Par principe, une "phénoménologie de la transcendance" ne cherchera donc pas positivement "quelque chose" de transcendant dans le monde. Il ne pourra s'agir que d'une phénoménologie de la trace : phénoménologie de ce qui est au monde sur le mode de la non-présence et de la no-présentabilité, phénoménologie de ce qui "brille par son absence" (p. 14-15).
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