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Désormais délestée de son autorité, à la portée de tous, la critique se cherche une nouvelle légitimité dans le monde 2.0, où chacun se livre à la compétition des goûts et à la passion des hit-parades.
En examinant d'un point de vue à la fois phénoménologique et pragmatique pourquoi la critique du goût n'est pas un supplément à l'expérience esthétique mais en est proprement constitutive, cet essai tente, par des exemples pratiques et avec Schiller, Hume ou Dewey de dégager des éléments de méthode pour partager notre « pulsion » critique sous l'horizon d'une communauté différentielle. Il s'agit donc de mettre à nu ce qu'on appelle « goût » en vue de mieux communiquer notre expérience du monde et d'établir des principes critiques au-delà du seul domaine de l'esthétique.
Où l'on verra qu'une « bonne » critique est toujours créative et qu'au contraire de l'évaluation des performances qui règne dans l'ordre néolibéral, son rôle politique est d'ajourner infiniment la conclusion, c'est-à-dire la condamnation.
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