Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Peau de lait est écrit d'un seul souffle. Celui d'une gamine qui n'en finit pas de se sauver. Elle se sauve au pas de course jusqu'à l'asphyxie, jusqu'au grand éclat de rire. On cherche avec elle la porte de sortie entre les couteaux tirés d'une mère et un père la tête dans les étoiles. Pour elle, on interroge l'enfance, au dehors, des années fin soixante-dix, quatre-vingt. On tâtonne. Parce qu'on se retrouve finalement face à une multitude de portes qui ont percé ici dans le papier, l'écriture, la poésie. Certaines donnent sur des grimaces qui font rire en douce. Et puis, il y a cette porte devant laquelle il faut se tenir sage parce qu'elle ouvre sur l'impossible. Ce monde, entre rêve, cauchemar et magie, qui voudrait nous faire croire qu'il n'existe pas. Céline Walter n'est pas sage. L'impossible, chez elle, il n'y a que ça de vrai.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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