"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dix ans après l'illumination qui lui révéla l'éternelle innocence de Dieu, Claudel découvre en 1896 le pouvoir d'accueil et de création du vide taoïste. Dès Le Repos du septième jour, puis des Cent Phrases pour éventails au Soulier de Satin jusqu'à l'oeuvre exégétique dans Paul Claudel interroge le Cantique des cantiques et Emmaüs, il ne cesse d'approfondir son contact avec l'Asie dans son interrogation du vide positif. Aussi cette étude s'efforce-t-elle, dans la continuité de Claudel et l'Univers chinois de Gilbert Gadoffre, en particulier de son dernier chapitre «La Chine du souvenir », de découvrir l'itinéraire emprunté par le poète dramaturge en recherche de l'esprit de la Chine antique et dans sa quête jamais achevée d'une écriture nouvelle.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !