"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Mon père appartient à cette génération qui, sous prétexte qu'elle est née après guerre et en plein progrès, a décidé que son combat d'une vie serait de ne pas mourir. De ne pas mourir, donc de ne pas vieillir. D'arrêter le temps. Au début, je croyais qu'il était le seul atteint. Et puis j'ai vu d'autres spécimens, je les ai parfois côtoyés : les faux jeunes. Au début je croyais que le syndrome ne touchait que les hommes de son âge, les éternels « baby-boomers », puis je me suis aperçue que la génération suivante était pire. Déjà faux jeune à quarante ans. Voilà le problème. Les gens ne veulent plus mourir. Alors ils volent la vie de leurs enfants. Ce sont des ogres » L'ogre est ici un père si juvénile et séduisant qu'il courtise de préférence des filles plus jeunes que la sienne. Il lui présente des nymphettes renouvelables à talons compensés, quand Marion alias « big » (son surnom !) pratique volontiers l'amant quinquagénaire cabossé par la vie. Au-delà du sujet de société - les pères et leurs filles, l'homme occidental en proie à l'obsession du jeunisme - Marion Ruggieri, tout en se moquant d'elle-même en adolescente à perpétuité, a réussi un roman qui tient du prodige : faire rire de nos travers virils et faire pleurer d'une si attachante liaison avec son géniteur. Comment grandir quand son père reste à jamais l'impossible M. Bébé ? A la fois pudique et réaliste, tendre et cruel, autobiographique mais universel, ce premier roman sur la confusion des âges devrait connaître un grand succès auprès de tous les publics. Car hélas ! nous sommes tous concernés par cette phrase : « Le problème avec les parents d'aujourd'hui, c'est qu'ils ne meurent jamais. Ou qu'on les aime trop. »
Big a trente ans.
Elle vit avec un homme de l'âge de son père.
Père qui refuse de vieillir et multiplie les aventure avec des jeunettes.
La relation entre Big et son père est des plus ambiguës.
En quatrième de couverture il est écrit que c'est un roman « tendre et pudique »
Je l'ai trouvé plutôt malsain et indécent.
Le côté post soixante-huitard et parisianisme est indigeste.
J'ai eu la sensation de perdre mon temps à le lire alors que tant d'autres livres m'attendent.
Après coup, j'ai découvert que Marion est la fille d'Eve Ruggieri.
J'ose juste espérer qu'il n'y a rien d’autobiographique dans tout ça, ce qui rendrait ce roman pire encore que ce que j'ai ressenti .
Bof ! Je n’ai pas accroché … Pourtant le résumé à l’air bien …
Big (Marion) a 30 ans, son père 55 ans, très encombrant, Georges son fiancé né le même jour, le même mois et la même année que son père, et un amant qu'elle fait littéralement tourner en bourrique. Mais le principal homme de sa vie (et du roman) c'est son père !
L’histoire se déroule dans l’appartement du père de Big. Le jour de son cinquante cinquième anniversaire. Big pensait être en tête à tête avec son père ce soir-là. Manque de chance, son fiancé Georges débarque et la nouvelle copine de son père, Fallen, 17 ans débarque aussi …
Marion revient sur les différents épisodes de sa vie où son père était tantôt son fiancé, tantôt son père. Que ce dernier à bouffé sa jeunesse et bouffe encore sa vie de par le fait qu’il ne veut pas vieillir et qu’il cumule les conquêtes de toutes sortes.
Marion est perdu, elle a même choisi son fiancé Georges, le même âge que son père, pour avoir un substitue de père…
L’histoire est longue malgré le peu de pages que comporte ce livre !
Je n’ai pas accroché.
C’est long, c’est ennuyeux, c’est bof !
Je ne conseillerai pas ce livre à quelqu’un qui veut se divertir !
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