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De la chute de Napoléon à l'avènement de Napoléon III, Paris a été la capitale politique et littéraire de l'Europe, et, partant, du monde.
Elle le doit à ses bouleversements politiques permanents (Restaurations, Cent-Jours, révolutions de 1830 et 1848, coup d'Etat du 2 décembre 1851) et à l'incroyable richesse de sa vie intellectuelle et artistique incarnée dans des salons où les politiques côtoient les écrivains (Chateaubriand, Contant, Hugo, Stendhal, Musset) et les étrangers illustres (Rossini, Marx, Heine) sans oublier les meilleurs diplomates et les grands artistes (Berlioz, Delacroix...). Phare de la liberté, vivier des idées nouvelles, Paris attire en son sein des cohortes d'émigrés politiques notamment allemands, polonais, espagnols et italiens. Comme le résume Metternich au moment des Trois Glorieuses : « Quand Paris éternue, c'est la France qui s'enrhume ».
Philip Mansel retrace avec maestria ce demi Grand Siècle, véritable âge d'or qui complète et prolonge la Gloire Impériale dans l'édification d'une certaine idée de la France, mère des Arts et du Progrès, identifiée avec le rayonnement de sa capitale.
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