Tous et toutes, à notre niveau, sommes concernés par le besoin de pardonner et ce, quelque soit l'offense, la violence la trahison qui nous auront fait devenir des victimes.
Il y a ces souvenirs qui nous empêchent de dormir, des années durant. Ces noms, venus du passé, presque imprononçables sous peine de lever des tempêtes dans notre coeur, et réveiller colère, ressentiment, parfois haine.
Nous prétendons parfois avoir pardonné...mais ne faudraitil mieux pas effacer la blessure, tout au fond, et garder le nom de celui ou celle qui nous l'a infligée, comme une mise en garde, le souvenir d'une expérience ?
Que nous dit la réalité, que signalent nos ressentis, nos émotions? ? La blessure est-elle guérie ? S'est-elle envolée avec le départ de l'offenseur? Sommes-nous vraiment libre ? Prenons le temps d'observer comment nous réagissons à l'évocation de certains souvenirs douloureux...
Cet ouvrage ne se veut ni un essai philosophique, ni théologique, ni politique, ni sociologique, même si, lorsque nous parlons de l'humain, et de l'état de son âme (la vôtre, la nôtre), ces disciplines sont forcément inextricablement mêlées.
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Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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