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Wang, le préfet, est le plus heureux des hommes. Sa troisième femme vient de lui donner, enfin, un fils. Cela n'est évidemment pas du goût de ses deux autres épouses qui n'ont pu faire mieux que d'engendrer six filles, créatures que les croyances stupides des adultes tiennent à l'écart du nouveau-né.
Haine, jalousie, envie agitent la demeure du maître des lieux. Celui- ci, haut magistrat de l'empire, continue à travailler à la prospérité d'une famille dont la lignée est désormais assurée jusqu'au jour où des soupçons de malversation amènent son discrédit aux yeux de son souverain.
Le ciel s'assombrit au-dessus de la maison des Wang. La déchéance a pour témoins Petite-Lune, la fille aînée, et An, un lettré, qu'une énigme autour de la mort d'un des envoyés de l'empereur inspire.
Après "Brume de sang", j'ai voulu lire du même auteur "Par toutes ces nuits sans lune". Je n'ai pas été déçue. Le récit bien mené autour de personnages attachants amène le lecteur vers une fin inattendue et tragique. La langue simple est parfois poétique. Un bon moment de lecture et comme précédemment une découverte de la Chine ancienne.
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