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Panique à Deer Creek

Couverture du livre « Panique à Deer Creek » de Claude-Alain Planchon aux éditions Jacques Flament
Résumé:

Lynn S. H., une de ses amies de New York, avait invité C. A. Planchon à venir passer quelques jours dans son ranch du Wyoming. Premier contact avec un état chargé d'histoire qui n'a pas subi de bouleversement depuis la ruée vers l'or. Les cabines d'invités, éparpillées dans la nature sauvage,... Voir plus

Lynn S. H., une de ses amies de New York, avait invité C. A. Planchon à venir passer quelques jours dans son ranch du Wyoming. Premier contact avec un état chargé d'histoire qui n'a pas subi de bouleversement depuis la ruée vers l'or. Les cabines d'invités, éparpillées dans la nature sauvage, les conversations et les ombres qui se faufilent le soir au coin du feu, tout à Deer Creek incitait l'auteur à se raconter des histoires. Ainsi naquit Dwight Granger...
Dwight Granger est un trader de New York à la vie sentimentale perturbée. Appelé d'urgence dans le Wyoming par ses parents, sa vie va vite basculer. La peur du vide, l'appel de la nuit, tout autour de lui va contribuer à raviver ses frayeurs. Dwight Granger est un cas typique de personnalité dissociée. Comme un arbre qui se défeuille, il va perdre peu à peu de ces racines d'équivalence qui lient normalement l'attitude au propos. C. A. Planchon n'est pas médecin pour rien. Il nous révèle avec exactitude la déconnexion progressive entre l'esprit de son héros, sa conception du corps, du réel et de la conscience... Dwight Parker se libère d'un moi devenu encombrant, pour se couler à l'intérieur d'un rêve où sa femme Helen et sa fille Betty Rose n'ont plus leur place.
Le cauchemar se poursuit dans l'une des prisons les plus dures de l'état du Wyoming.
Ce livre peut être vu aussi comme un plaidoyer contre la peine de mort en référence à l'exécution par injection létale le 7 août 2012 de Marvin Wilson, un handicapé mental de 54 ans.

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