"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
"Tomber dans le domaine public"... ça fait mal ?
D'où vient cette conception négative et dévalorisante du domaine public ? Les artistes et les génies du passé ne valent-ils plus rien pour les lecteurs, auditeurs, spectateurs, comme pour les éditeurs et tous ceux qui vivent de la culture ?
Ce n'est évidemment pas le cas. On pourrait donc définir le domaine public de façon moins négative. La période de propriété est une incitation à la production d'oeuvres. Le domaine public représente l'intérêt général. Une cohabitation harmonieuse est possible, comme Jean Zay ou l'association Communia l'imaginent.
Chaque année le domaine public s'agrandit, ce qui permet la redécouverte, la réédition et le partage des oeuvres. Les outils numériques peuvent favoriser cette exploration de notre patrimoine commun, et la production de nouvelles oeuvres s'en inspirant.
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