Pour Éloi Audoin-Rouzeau, écrire est un moyen de combattre le désespoir qui règne dans la société contemporaine. De ce premier roman au titre poétique, Ouvre ton aile au vent, il s’agit d’une course-poursuite qui montre l’animalité de l’homme de l’homme et la destruction de notre milieu de vie...
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Pour Éloi Audoin-Rouzeau, écrire est un moyen de combattre le désespoir qui règne dans la société contemporaine. De ce premier roman au titre poétique, Ouvre ton aile au vent, il s’agit d’une course-poursuite qui montre l’animalité de l’homme de l’homme et la destruction de notre milieu de vie par l’homme. Par le prisme de l’histoire du canard, qui chaque année doit être chassé depuis Paris et ramené vivant au président de la République pour un partage, c’est notre nature humaine qui est décryptée avec une certaine acuité dans un fond de thriller. En dépit de la barbarie de ce monde chaotique, miné par les épidémies, le rejet et le repli, les attaques terroristes et autres, dont l’auteur se fait le porte voix ici : il y a de l’espoir à l’horizon. Parce que, en dépit des chasseurs qui ont malmené Vadim le fleuriste, qui ont même tenté de tuer le canard par des coups de fusil, de bonnes âmes ont surgi de l’ombre pour apporter une fin heureuse à cette histoire qui s’achève vers l’Irlande, notamment Mme Gracia et ses pensées philosophiques.
Paru aux éditions Phébus en août 2021, ce livre est une introspection que chaque lecteur doit faire afin d’aller à une société meilleure. Par ailleurs, l’écriture de l’auteur est sensible et passionnante. Elle s’ancre dans la poésie et dans la beauté et dans la noirceur des sentiments humains. Sa force de captation est longue ou presque. Par la force des mots, l’auteur conduit le lecteur, page après page, chapitre après chapitre construit comme des nouvelles, vers un ciel plein de soleil et de bonheur après l’orage.
Bonjour,
Merci pour l'attention que vous portez à mon travail.
En attendant la sortie de mon prochain livre en septembre 2023, voici une petite promenade littéraire dans mon univers :
À très bientôt !
Éloi Audoin-Rouzeau