Le miroir qu'on promène que les chemins de la vie parfois se brise.
Commence alors un lent travail, obstiné et mélancolique, pour récupérer les morceaux épars de soi et du monde. c'est à un effort de reconstitution que s'applique marc desombre, tissant aux mailles du silence et de la parole un texte peu à peu retrouvé oú se lisent les fragments de mémoire, instants d'émotion, visions précaires, " trois fois rien " en effet. mais il arrive que la vie de nouveau respire et tremble dans ces petites choses.
Opossums est comme le journal de bord de cette patiente reconquête.
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