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Depuis Claudio Montever-di (1567-1643) et son Orfeo, l'opéra est naturellement associé à la langue italienne, qui s'est rapidement taillée une part prédominante dans toute l'Europe pour ce répertoire. Avec Vincenzo Bellini (1801-1835) et Gaetano Donizetti (1797-1848), la ligne vocale prend toute sa puissance et permet l'avènement du Bel Canto, ce «beau chant» magnifié par un répertoire préfigurant le romantisme. Avec Gioachino Rossini (1792-1868), s'y ajoutent une performance vocale encore plus agile et l'ouverture vers un répertoire plus bouffe, qui réjouira le public. Sous Giuseppe Verdi (1813-1901), l'opéra italien prend une nouvelle ampleur pour migrer vers un genre de plus en plus proche de son temps dans le choix des argumentaires, annonçant le dernier grand mouvement italien marquant : le vérisme avec ses quatre représentants emblématiques que sont Pietro Mascagni (1863-1945), Ruggero Leoncavallo (1857-1919), Umberto Giordano (1967-1948) et Francesco Cilea (1866-1950).
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