L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Vous vous étiez approché du tribunal, sûr d'avoir entendu ce cri « Il n'y a plus de justice ». Dans la salle des pas perdus, une voix murmure maintenant « Il y a une justice ». Vous ne savez plus très bien ce que vous êtes venu chercher là, ni à qui vous fier : à l'avocat de la magistrature ou à l'avocate du diable ? Dans la tension de cette salle d'audience, vous tressaillez. Pourtant, ce n'est pas vous que le procureur vise de son index, c'est la personne agitée sur un banc au fond. Mais vous savez que vos visites posent question : « On vous voit beaucoup au tribunal. Vous êtes journaliste ? ».
Ni juge ni partie, ni journaliste, Diane Carron a observé depuis le public des affaires jugées par des tribunaux de France métropolitaine. Cet ouvrage donne à entendre l'oeuvre de la justice pénale par de multiples voix, solennelles ou facétieuses. Il est agrémenté de conversations tenues à la volée avec des amateurs de la justice, des professionnels du droit et des experts du non-droit.
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