80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Août - septembre 1998. Une nouvelle guerre endeuille impitoyablement des milliers de familles de l'Est de la République soi-disant démocratique du Congo. Massacres à grande échelle, incendies de villages et de quartiers entiers, exécutions sommaires, pillages en tous genres. Le Rassemblement Congolais pour la Démocratie (RCD) à la solde du Rwanda et de l'Ouganda, semble tout faire pour démentir son credo de « guerre de libération et de rectification ». Déo Namujimbo a eu le triste privilège de décrire jour pour jour l'avancée des troupes de la brigade de la mort chargée d'investir les territoires d'Uvira et Fizi (province du Sud-Kivu) puis le district du Tanganyika, au Nord-Katanga. En parfait reporter de guerre, il relate dans ces pages les pires horreurs de sa vie et de millions de Congolais rescapés de la plus grande monstruosité du 20ème siècle. Douze ans plus tard, les bourreaux sont au pouvoir : Général Gabriel Amissi « Tango Four », Colonel Anicet Bolongi, général Jean-Pierre Ondekane, Alexis Thambwe Mwamba, Vincent Lunda Bululu, Barthélémy Mumba Ngama, Norbert Basengezi Katintima, Katintima, Azarias Ruberwa, Moïse Nyarugabo, Arthur Z'Ahidi, Emile Ilunga, Benjamin Serukiza, Mwami Ntambuka, Lambert Mende, Adolphe Onusumba, Bizima Karaha, Etienne Tshisekedi etc...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année