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à travers le destin d'arezou, une femme iranienne, active et divorcée, écartelée entre sa mère et sa fille, trois générations s'affrontent dans un monde où règnent depuis longtemps les interdits et le non-dit. on la suit au bord du rire ou des larmes, espérant avec elle profiter enfin d'une certaine beauté de la vie.
Dans un roman d'une richesse et d'une vigueur exceptionnelles, zoyâ pirzâd brosse à la fois le portrait d'une société pleine de contradictions et celui d'une femme passionnante, aussi drôle et attachante qu'une héroïne de jane austen.
En Iran, Arezou tient une agence immobilière avec toutes ses tracasseries. Son mari est parti et elle s’occupe de sa fille et de sa vieille mère. Sa vie est bien remplie et elle partage tout, soucis et joies, avec son amie Shirine.
Histoire de trois générations sur fond de vie iranienne.
C’est très touffu. Tout est pratiquement écrit en dialogues entre des personnages aux impossibles à retenir et j’ai trouvé cela très pénibles. Maintes fois, j’ai failli abandonner. De cinquante pages en cinquante pages, j’en suis arrivé au trois-quarts du livre où j’ai déclaré forfait. Dommage, ça m’aurait bien intéressé cette histoire de femmes en Iran.
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