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On m'a dit "resigne-toi"

Couverture du livre « On m'a dit
Résumé:

18 juin 1940. Jean Ayral, dix-huit ans, entend à la radio l'appel prophétique du général de Gaulle qu'il décide de rejoindre à Londres. Il embarque sur le Président Houduce, un chalutier converti en patrouilleur, qui le conduit à Gibraltar.
Là, commence son aventure. Il s'engage comme simple... Voir plus

18 juin 1940. Jean Ayral, dix-huit ans, entend à la radio l'appel prophétique du général de Gaulle qu'il décide de rejoindre à Londres. Il embarque sur le Président Houduce, un chalutier converti en patrouilleur, qui le conduit à Gibraltar.
Là, commence son aventure. Il s'engage comme simple matelot sur un cargo français : le Rhin, commandé par le Lieutenant Claude Péri, qui, débaptisé, devient le fameux croiseur HMS Fidelity. Promu sub-lieutenant dans la Royal Navy, il participe à des dizaines de missions secrètes et dangereuses jusqu'au jour où malencontreusement il se casse une jambe. Sa carrière de marin s'arrête brusquement. Enrôlé au BCRA de la France libre, il est chargé par Jean Moulin d'organiser le BOA, structure destinée à assurer la logistique de toutes les missions aériennes, parachutages, exfiltrations d'agents devant rejoindre l'Angleterre et transmissions radio...
L´auteur : Après « L'homme du Sahel », Roger Bouchaud nous plonge dans l'ambiance d'une France battue et humiliée. Cette histoire, bien que romancée, apparaît comme un témoignage de reconnaissance à tous les hommes qui, par le sacrifice de leur liberté et de leur vie, nous ont rendu, avec le Général, la dignité et l'honneur d'être Français. Si quelques personnages et événements sont imaginaires, il n'en demeure pas moins que ce roman reflète très fidèlement l'ambiance de cette époque douloureuse de l'histoire de notre pays. Merci encore à tous ces héros qui dès le 18 Juin 1940 ont continué la lutte contre le nazisme. Merci également à tous ceux qui n'ont pas attendu la libération de Colmar pour entrer en lutte. « Les Allemands étaient chez moi, On m´a dit « résigne-toi » ...

Mais je n´ai pas pu, Et j´ai repris mon arme...» Premiers vers de La complainte du partisan, écrite à Londres en 1943 par le grand résistant Emmanuel d´Astier de la Vigerie.

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