"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C´est à Lyon, en mai 2015, que Maxime Benoît-Jeannin apprend la mort de Christian Didier d´une manière absolument stupéfiante. Vieux camarade d´enfance vivant à Saint-Dié-des-Vosges, Christian n´était pas n´importe qui. Le 8 juin 1993, à Paris, il tuait René Bousquet, ancien secrétaire général de la police au temps du Maréchal Pétain et, à ce titre, complice de la Solution finale en France ocupée. Mais auparavant, en 1987, il était entré dans la prison Saint-Joseph de Lyon, où se trouvait incarcéré l´ancien SS Klaus Barbie, dans l´espoir de l´exécuter. Il avait échoué. Arrêté, détenu cinq mois à la prison du Fort Montluc de Lyon, Christian avait mené trois grèves de la faim avant d´être condamné à une peine de prison avec sursis et libéré. Ce roman raconte non seulement son incarcération à Lyon, mais tente aussi d´ouvrir des fenêtres sur la vraie vie ? La vraie vie est absente. Nous ne sommes pas au monde. (Rimbaud) ?, que l´on peut être amené( ou pas) à percevoir.
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