"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Un énorme caillou percute la terre et détruit toute vie. Dieu et diable se félicitent puis se mettent en concurrence pour la domination suprême. Apparaît la mort éternelle sous les traits d'un mendiant. Oméga Phoenix dernier homme disparu dans l'espace retombe sur terre. Un âne tricote une longue écharpe en laine, coryphée moderne, du proscenium il tente d'intéressé le 6 é interprète de la pièce, le public. La mort et Oméga Phoenix referont un monde, le même. Cette oeuvre, insolite, barbare, met en relief l'absurde du vouloir paraître. Il en est ainsi des conversations de salon ou de café du commerce. L'auteur se pose cette question : qui est le plus absurde, l'écrivain, les personnages ou le public ? Cette pièce n'a pas d'histoire au sens traditionnel du terme. C'est en fait une fin de rencontre entre des protagonistes ambitieux. Le dramaturge souhaite pincer le coeur des spectateurs en éclatant de rire et même en ricanant du pire, de la vie. Seul l'âne est humain, c'est une femme
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