80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avec cet ouvrage reprenant ses oeuvres, Marc-Louis Ropivia nous relate ici, avec une force et une sincérité inouïes, ce que fut son exis-tence : emprisonnement, souvenirs, récits divers et fictionnels, orai-sons émouvantes, ponctuée de recueils de poésies tantôt réalistes ou allégoriques avec des images surprenantes venues d'un tréfonds mys-térieux. Rares sont les hommes de cette envergure, à la fois homme politique, universitaire et poète. Marc-Louis Ropivia est de ceux qui ont façonné pour les générations à venir la mémoire du Gabon où des hommes et des femmes ont su rayonner pour insuffler une vision moins restrictive, empreinte à la fois d'humilité et de grandeur. Marc-Louis Ropivia est le Gabon parce qu'il a su relier sans tabou, par la magie des mots, toutes les visions humaines, politiques, poé-tiques de son pays. En ce sens, cet ouvrage est peut-être plus qu'un livre, il est une somme de composantes qui ouvre sur un avenir à ima-giner, il est une mémoire qui donne à pressentir un vent de liberté, un chant d'espoir...
Marc-Louis Ropivia est né à Port-Gentil au Gabon. Philosophiae Doctor (Ph. D.), il est professeur titu-laire (CAMES) de géopolitique et de géostratégie à l'Université de Libreville (UOB). Fondateur et Direc-teur du Centre d'Études et de Recherches en Géos-ciences politiques et Prospective de l'Afrique subsa-harienne (CERGEP), il a exercé les fonctions de Mi-nistre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année