Printemps 2018... Des scènes de torture filmées caméra à l'épaule. Des vidéos anonymes déposées au siège de la police judiciaire parisienne. Des victimes réparties aux quatre coins du monde. Printemps 1978... Un drame inavouable. Un acte passé sous silence. Entre sectes, snuff movie et folie humaine, le capitaine Darros et son équipe vont devoir composer avec le doute... jusqu'à ce que l'impensable prenne le pas sur la réalité... Après TAO, Olivier Patry signe ici le second opus de sa trilogie du 36. Fort de ses personnages attachants et de sa plume incisive, il livre avec OCCISUM une nouvelle enquête policière qui ravira les inconditionnels de polars noirs.
Bonjour mes amis,
Je viens de terminer, Occisum d'Olivier Patry, un excellent thriller, dont j'avais apprécié la plume en lisant TAO, mais là l'auteur s'est surpassé.
Gros coup de coeur, beaucoup de frissons, mais j'adore, je l'avoue.
J'ai lu ce thriller avec plein de fourmis dans le ventre, pourquoi, à mais je ne vais pas vous le dire, trop facile !
Nous partons sur des chapeaux de roues, le capitaine Darros et son équipe reçoivent des vidéos, mais aucun indice.
Je me vois avec eux, penchée sur ces vidéos, mais non, je ne peux pas, je leur laisse, je ne vais pas faire leur travail, découvriront ils la vérité ?
Je leur fait confiance !
Je tire mon chapeau à l'auteur, qui s'est très bien documenté, j'en ai appris des choses, et qui a su exploiter ses connaissances avec justesse !
J'ai adoré les personnages très bien décrits psychologiquement, avec leur faiblesse et leur points forts, des humains tous simplement confrontés à la folie humaine, jusqu'où peut elle aller ?
Les chapitres sont courts, mais en allant crescendo jusqu'à l'explosion finale !
La plume de l'auteur est incisive, juste, sachant nous donner des frissons, de nous faire retenir notre respiration, j'adore !
Monsieur l'auteur je vous mets 5 étoiles et merci de m'avoir fait vibrer, avec des sueurs froides, votre excellent thriller, j'en redemande, qu'allez vous nous concocter pour votre troisième roman, il me tarde déjà, car je vais vous suivre !
Votre Martine !
Comme un premier disque qui cartonne le second est toujours attendu, idem pour un livre. Après Tao qui était un coup de cœur, je vous livre mon ressentit sur le deuxième opus d’Olivier.
Tout d’abord coup de cœur pour la couverture recto comme verso. Comme le titre Occisum l’indique y a différentes façons de faire mourir quelqu’un. Dans cette histoire les mise en scènes des meurtres sont effroyables et spectaculaires ! Mais pourquoi cette cruauté sans pareille ? Ces lentes agonies perpétrées par le biais d’insectes ou d’autres bestioles parfois vénimeuses ? Pourquoi les adresser au capitaine Darros ? Son équipe doit visionner ces scènes chocs et analyser des codes chiffrés, ils ont différentes pistes, mais quand ils découvrent une croix gammée et la référence au 36 QDO donc le Quai des Orfèvres l’enquête prend une autre dimension. Darros et son équipe vont être sur le qui-vive pour arrêter cette violence ; sectes, Nazis, qui en veut au 36 et pourq , ;uoi ces snuff movies ? Les enquêteurs atteints par ces visions insupportables font passer l’enquête au détriment de leur vie. Ces personnages de la PJ sont attachants comme Yoda et son langage anastrophe, Malek et Linda, Borys, Pierrot et Darros à fleur de peau.
De fausses piste en recherches, l’auteur nous distille des infos scientifiques, entomologiques, historiques qui apportent des plus à l’enquête et à l’intrigue. Les chapitres sont courts portés par une écriture qui va doit au but pour des lecteurs de thriller exigeants les scènes de torture étant très réalistes ! Vous l’aurez compris cette histoire va vous secouer « aimer moi j’ai »* et son final vous faire dresser les poils…
Il faudra donc bien compter avec ce nouvel auteur dans l’univers du thriller qui réussit haut la main son deuxième passage !
*Pour tout comprendre il faut lire Occisum !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
