80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La nuit du 9 septembre 1978, les membres de l'Ordre du Fer Divin se sont immolés avec leur gourou. L'unique survivant est le fils de ce dernier, Kantor, un garçon de douze ans. Traumatisé et rebelle, il affronte l'adolescence dans un monde hostile où il ne dispose pour s'affirmer que du terrible pouvoir de pénétration mentale hérité de son père.
Seul, un de ses camarades de collège échappe à son pouvoir: Octave Angemal, fils d'un des plus grands penseurs du moment. Non sans heurts, ils deviennent amis. Mais si Kantor ne peut éteindre l'incendie qui brûle en lui, Octave, écrasé par la figure de son père, cède à un froid pernicieux: le sentiment de n'être personne.
L'un, enfiévré par des drames qui le font haïr Dieu, oscille entre l'appel de l'amour et la hantise du mal. L'autre, glacé par ses échecs, s'achemine vers le gel catatonique. Face à eux, la lumineuse Iris, soeur d'Octave et amie de Kantor, s'obstine à croire en la vie...
À ranger aux côtés de L'Oreille interne de Robert Silverberg, un roman où la finesse de l'analyse psychologique prend les couleurs de la poésie.
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