"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le repeuplement de la Terre était déjà bien avancé, après « La Grande Catastrophe » qui avait anéanti toute vie à sa surface. Malgré les exactions des Errants et même si le plus gros de la production de silice était passé des mains de petits propriétaires colons seulement pourvus de leur volonté farouche, à celles de spéculateurs intergalactiques sans scrupule, la Cité était parvenue à prospérer.
Mais en devenant la seconde ville la plus peuplée de la planète, la Cité avait peu à peu perdu son âme : les objectifs nobles des tout premiers pionniers fondateurs avaient peu à peu été corrompus par la soif du gain et l'obsession de rentabilité. La nécessité d'une main d'oeuvre moins onéreuse pour extraire la silice s'imposait : de vulgaires bagnards promis à l'oubli universel feraient largement l'affaire. N'est-ce pas ?
Après le premier roman de la Trilogie de la Terre nouvelle intitulé La Cité, paru dans le tome 5 des Nouvelles du Monde, voici dans ce sixième volume les deux textes qui terminent en apothéose cette formidable épopée humaine : 2- Vence-ostiz ; 3- Ghetto
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