80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Un riche commerçant avait une fille nommée Aïcha, belle comme la lune.
Louange à Dieu qui la créa et la modela si belle. Comme elle prenait le frais un soir sur sa terrasse, sa dada lui monta un bol d'une soupe à la mhamça. En buvant, elle laissa tomber sur sa poitrine une petite boulette de pâte qu'elle remit dans sa bouche. Le fils du Sultan, qui se trouvait sur une terrasse voisine, la vit et lui dit : - Ô Lalla qui cultives du basilic et qui arroses ton pot de basilic sur la terrasse, dis-moi, je te prie, combien il y a de feuilles dans ta plante.
- Ô fils du Sultan, répartit-elle, ô toi qui tiens toutes les contrées, ô seigneur savant, ô docteur, ô toi qui lis dans le livre d'Allah, dis-moi combien il y a de poissons dans l'eau, d'étoiles dans les cieux et de points dans le Coran ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année