Mars 2020.
La France, submergée par la pandémie de covid-19, est mise sous cloche. Camilla, étudiante en lettres, se retrouve sans ressources, confrontée à la douleur d'une rupture récente dans une chambre de bonne exiguë.
Diane doit fermer son salon de coiffure, pourtant sa seule échappatoire face à son mari violent.
Brigitte, une experte-comptable à la retraite, souffre de ne plus pouvoir passer de temps avec son petit-fils. Les destins de ces trois femmes de générations différentes se croisent puis se lient à travers une passion commune...
c’est vraiment une très belle découverte. Les chapitres sont courts et s’enchaînent rapidement. On évolue tantôt aux côtés de Diane, tantôt avec Camilla ou Brigitte… et peu à peu, ces 3 héroïnes voient leurs destins s’entrecroiser. J’ai adoré me « replonger » dans cette période inédite que nous avons vécu en France en mars 2020 … le confinement. J’ai trouvé que l’auteure décrivait de manière très juste tous les chamboulements auxquels les français ont dû faire face et toutes les émotions et sentiments qui en ont découlé. J’ai tellement pensé à ma petite maman que je ne pouvais pas aller voir et que j’appelais au téléphone tous les jours … ah et ce fameux papier à remplir et signer pour chaque sortie ! Indéniablement, Camille a su me toucher en plein cœur avec ces 3 femmes … sa plume est sincère et pleine de sensibilité.
J’ai retenu un passage en particulier concernant la lecture, l’un de mes passe temps favori : « Ne dénigre pas tes lectures. Je pense qu’il y a quelque chose à apprendre de chaque livre qu’on lit, et le plaisir de lire est bien plus important que des histoires de renommée ou d’intellectualité. »
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
