Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Il me faut maintenant rendre justice à quelques-unes de mes sources et avouer de menus forfaits.
Le plus souvent, on choisit un titre une fois le manuscrit achevé. On hésite entre plusieurs propositions dont aucune ne satisfait pleinement l'auteur ou l'éditeur. Ici tout le contraire puisque c'est le titre d'un poème de Nikolaus Craigher de Jachelutta, Totengräbers Heimweh, mis en musique par Franz Schubert, qui déclencha la gestation de La nostalgie du fossoyeur. Ces onze récits, nés dans l'indépendance et le désordre, ont peu à peu constitué un cycle dont le fil, sans le secours d'Ariane, tente de pénétrer le dernier labyrinthe.
A quoi bon d'ailleurs le secours d'Ariane puisqu'il n'est pas prévu de retour ? J. B.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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