Nos premieres voitures dans les annees 1950 et 1960

• Date de parution : 03/04/2014
• Editeur : Wartberg
• EAN : 9783831328161
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 72
• Collection : (-)
• Genre : Histoire
• Thème : Histoire Faits de société, témoignages contemporains, actualité
• Prix littéraire(s) : (-)

Durant les années 1950 et 1960, l'économie redémarre et de nouveaux biens de consommation apparaissent dont l'automobile qui commence à être accessible grâce à la production de véhicules populaires et économiques (4CV et Dauphine Renault, 2CV Citroën, Panhard PL17...). D'autres moyens de... Voir plus

Durant les années 1950 et 1960, l'économie redémarre et de nouveaux biens de consommation apparaissent dont l'automobile qui commence à être accessible grâce à la production de véhicules populaires et économiques (4CV et Dauphine Renault, 2CV Citroën, Panhard PL17...). D'autres moyens de locomotion individuels se développent également comme le scooter Vespa ou le cyclomoteur VéloSolex sans oublier la mobylette. Du côté des motocyclettes, elles ne sont bien souvent que l'apanage de certains passionnés et les marques japonaises n'ont pas encore envahi le territoire.
Le réseau routier est essentiellement constitué de routes nationales assez bien entretenues avec cependant très peu d'autoroutes. La Nationale 7 est l'illustration parfaite de la route des vacances, une route où les automobilistes prennent le temps de s'arrêter à l'occasion d'un pique-nique ou dans des relais routiers, voire des auberges. Nous les enfants des années 1950 et 1960, nous ne sommes encore que de jeunes adolescents et nos premières voitures sont miniatures, voire à pédales... Nous n'avons d'yeux que pour la voiture de Papa ! Certes, ces voitures sont moins confortables et moins sophistiquées... pas ou peu d'autoradios, pas de lève-vitres électriques, pas de climatisation et pour certaines à peine 3 vitesses, sans oublier la bonne vieille manivelle pour « dégommer » le moteur lorsque les petits matins étaient frisquets... mais c'était le bonheur ! Ah que c'était agréable de rouler sur les petites routes nationales et départementales, presque seul sur la route et de pouvoir stationner facilemen... La liberté de déplacement faisait son chemin !