80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Voici de cela quelques aunes d'années, à travers les anecdotes, contes et vicissitudes, les gens des campagnes vivaient dans la peur des êtres malveillants. Ils trimaient en patois dans leur quotidien, la misère parfois, vaillants et convaincus du mieux-être à venir. Ainsi en était-il dans une lente évolution, d'observations en essais, sur des monts qui demandaient beaucoup pour rendre peu. Éternel recommencement, d'exode en exode, ils sont passés de la famine à la faim, des essarts créés aux malheurs des terres abandonnées, de la terre, vêtus de haillons, à la ville, élégamment habillés cette fois. Passage du trop peu de tout ici au tout en surabondance, de la souffrance physique champêtre au stress chic urbain.
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