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Naïs Micoulin est amoureuse de Frédéric Rostaing, fils des propriétaires de la ferme tenue par son père. Le père Micoulin voit d'un mauvais oeil cet amour hors de son milieu. Mais Naïs a un allié de prix : Toine, le bossu. Pour cette ultime variation sur des thèmes connus (Angèle, La Fille du puisatier), Pagnol prend pour prétexte une nouvelle d'Emile Zola, et confie la réalisation à Raymond Leboursier, tout.
En étant omniprésent sur le tournage : Naïs (1945) appartient bien aux films de Marcel Pagnol. Henri Poupon, en père orgueilleux et borné, trouve son rôle le plus sombre ; et Fernandel bénéficie d'une tirade sublime sur les petits bossus. Jacqueline Bouvier, qui allait devenir Jacqueline Pagnol, est rayonnante de beauté et de candeur.
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