"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans un texte flamboyant Jean Léo fait revivre la saga des Atrides.
1200 ans avant l'ère chrétienne, la civilisation mycénienne, tout à la fois brutale et raffinée, se dévoile sous les yeux du lecteur : les artisans du bronze, les bâtisseurs des murailles cyclopéennes livrent leurs secrets ; les princes et les héros se déchirent dans des guerres sans fin pour une parcelle de gloire, pour le prestige de leur nom, parfois pour une femme ; les aèdes chantent la geste des guerriers le soir à la veillée dans la munificence des palais. Mais la fin est proche, la menace rôde aux portes des citadelles, Les redoutables conquérants doriens emmenés par les fils d'Héraclès tentent de conquérir la Grèce du sud, et bientôt toute cette splendeur va se trouver engloutie dans les flammes des incendies qui ravagent les forteresses achéennes.
Atrée, Agamemnon, Oreste, Tisamène : la malédiction des Atrides recouvre quatre générations et sert de fil conducteur à ce roman dont les accents renouent avec ceux de l'épopée. De l'Asie à l'Egypte, les Achéens livrent aux Hittites une guerre pour l'approvisionnement en cuivre, conflit dans lequel s'inscrit la guerre de Troie. Des confins de la Grèce, les Doriens s'acharnent à déferler sur le Péloponnèse que les Héraclides disputent aux descendants de Pélops. Érope, Clytemnestre, Électre, Hermione, les femmes ne sont pas en reste pour la violence et la haine, le bruit de leur fureur résonne dans ces pages et contribue à la peinture magnifique de ces âges oubliés.
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