Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Mufle

Couverture du livre « Mufle » de Eric Neuhoff aux éditions Albin Michel
Résumé:

Lui : deux fois divorcé, de grands enfants. A cinquante ans, il croyait avoir enfin trouvé la femme de sa vie.
Elle, c'est Charlotte. Elle se sera bien foutue de lui.Mufle se livre à l'autopsie d'un mensonge. L'amour est toujours une fiction.

Donner votre avis

Avis (6)

  • que se passe-t'il dans la tête d'un homme quand il se rend compte qu'il est cocu?
    que se passe-t'il dans la tête d'un homme quand il décide de rompre?

    que se passe-t'il dans la tête d'un homme quand il se rend compte qu'il est cocu?
    que se passe-t'il dans la tête d'un homme quand il décide de rompre?

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Le roman de la jalousie et de la déception amoureuse écrit avec une plume qui ne m'a pas subjuguée.
    Personnellement je me suis ennuyée à sa lecture que je n'ai pu achever.

    Le roman de la jalousie et de la déception amoureuse écrit avec une plume qui ne m'a pas subjuguée.
    Personnellement je me suis ennuyée à sa lecture que je n'ai pu achever.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Eric Neuhoff situe toujours ses romans dans les milieux bourgeois parisiens, milieu dans lequel il évolue comme un poisson dans l'eau.
    Dans ce nouveau roman, il raconte une déception amoureuse. Un homme encore épris de sa compagne, intercepte un sms sur le téléphone de celle-ci. Il comprend...
    Voir plus

    Eric Neuhoff situe toujours ses romans dans les milieux bourgeois parisiens, milieu dans lequel il évolue comme un poisson dans l'eau.
    Dans ce nouveau roman, il raconte une déception amoureuse. Un homme encore épris de sa compagne, intercepte un sms sur le téléphone de celle-ci. Il comprend alors qu'il est trompé et que leur histoire va tourner court. Cet homme se débat alors dans un mélange de haine, de déception et de tristesse.
    Il est très rare de trouver dans la littérature des romans où l'homme subit ce type de tourments. En général seules les femmes se dévoilent et épiloguent sur leurs dépits amoureux.
    Toutefois, lorsque j'ai pris connaissance du thème du livre, je n'ai pu m'empêcher de penser immédiatement "Au très grand Amour" de FOG paru en 2010. Et, si les effets décrits, sont assez semblables chez nos deux auteurs qui fréquentent sans doute les mêmes gens et les mêmes lieux, le traitement en ai pourtant différent.
    Eric Neuhoff, à l'inverse de Franz-Olivier Giesbert qui a besoin de profondeur pour ancrer ses propos, oublie très rapidement le côté dramatique de l'affaire, à laquelle il insuffle, petit à petit, de la légèreté pour finir sur une note complètement aérienne, une note de ciel parfaitement bleu.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Imaginez un romancier à qui vient l'idée de raconter la rupture d'un quinquagénaire bourgeois parisien (le mufle!) et de sa maîtresse dont il apprend qu'elle le trompe à l'occasion de ses déplacements professionnels. De cette situation éculée il tire un tapuscrit d'à peine cent feuillets. Vous...
    Voir plus

    Imaginez un romancier à qui vient l'idée de raconter la rupture d'un quinquagénaire bourgeois parisien (le mufle!) et de sa maîtresse dont il apprend qu'elle le trompe à l'occasion de ses déplacements professionnels. De cette situation éculée il tire un tapuscrit d'à peine cent feuillets. Vous pensez à cet instant qu'il gardera sous le coude cette petite chose dérisoire... pour l'étoffer, pour l'inclure dans un recueil de nouvelles à venir. Eh bien non, voici Mufle, roman sous emballage aguicheur, douze euros... Je me demande si le plus mufle n'est pas l'auteur !

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Pour une fois c'est un homme trompé qui étale ses états d'âme...Ouais....

    Pour une fois c'est un homme trompé qui étale ses états d'âme...Ouais....

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)
  • Si l’alternance des première et troisième personnes du singulier, révélatrice de l’absence de distance du narrateur lorsqu’il s’emporte (que le sentiment qui prend le pas sur la raison soit colère ou amour), ne m’a pas dérangée, en revanche je suis restée perplexe devant l’emploi des temps qui...
    Voir plus

    Si l’alternance des première et troisième personnes du singulier, révélatrice de l’absence de distance du narrateur lorsqu’il s’emporte (que le sentiment qui prend le pas sur la raison soit colère ou amour), ne m’a pas dérangée, en revanche je suis restée perplexe devant l’emploi des temps qui ne répondent à aucune concordance.
    Mais cette forme particulière n’enlève rien à la force de ce texte court qui met très justement en scène le mensonge qui s’installe, pour peu à peu prendre toute la place, et qui est d’autant plus réjouissant qu’il a été écrit par un homme.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)

Donnez votre avis sur ce livre

Pour donner votre avis vous devez vous identifier, ou vous inscrire si vous n'avez pas encore de compte.

Autres éditions (1)