Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
(...) Ce livre est un travail très sérieux, qui a le mérite de remettre en cause les lectures souvent trop idéologiques qui ont été faites de l'oeuvre de Moulod Feraoun. Il s'inscrit ainsi dans une actualité de la recherche sur la littérature maghrébine, laquelle se dégage peu à peu du tout idéologique qui prévalait tout naturellement dans les premières années de l'Indépendance de l'Algérie, pour rendre les premiers textes de cette littérature à une lecture enfin littéraire, que l'actualité et l'Histoire récente rendaient difficile quelques années auparavant. De plus, cette recherche porte sur un corpus très peu étudié, le Journal de l'écrivain, ce qui d'une part lui permet de rétablir la vérité historique sur les positions de l'auteur de façon plus indiscutable qu'une lecture des fictions de ce dernier, toujours sujettes à interprétations subjectives de par leur nature même de fictions. Et lui permet également de développer une réflexion sur le genre même du Journal et son rapport avec l'autobiographie (...). Charles Bonn
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